1. |
Indéfinissable
03:01
|
|||
Je serai là si tu flanches
J’éteindrai teindrai oh tes nuits blanches
Je tenterai tenterai de te donner la force
De te donner la force
De te donner la force
Car tu es
Car tu es
Car tu es
Car tu es
Indéfinissable
Indéfinissable
Je fais les mauvais gestes
Mes mots se brouillent se pressent
Jaimerais tant autant pourtant
Connaitre tes peurs, ton stress
Te couvrir de tendresse
Dis moi comment m’y prendre
Comment m’y prendre ?
Comment m’y prendre ?
Comment comment m’y prendre ?
Car tu es,
Car tu es,
Car tu es,
Car tu es,
Indéfinissable
Indéfinissable
Indéfinissable
Indéfinissable
Pardonne mon manque de tact
Parfois mon manque d’actes
Je voudrais que tu saches
Je chéris ces années
Passées à t’écouter
Passées à tes côtés,
A tes côtés à tes côtés
A tes côtés à tes côtés
Car tu es
Car tu es
Car tu es
Car tu es
Indéfinissable
Indéfinissable
Car tu es
Car tu es
Car tu es
Car tu es
Indéfinissable
Indéfinissable
|
||||
2. |
T'imagines même pas
03:32
|
|||
Tu peux pas savoir ce que ça me fait
Quand je repense à la nuit passée
Tu peux pas savoir ce que ça me fait
Quand je repense à la nuit passée
T’imagines même pas
Ce que ça me fait quand t’es là
T’imagines même pas
Ce que ça me fait quand t’es là
Oh dis moi oh dis moi
Oh dis moi oh dis moi
Oh dis moi oh dis moi
Oh dis moi oh dis moi
Oh dis moi oh dis moi
Oh dis moi que c’est pareil
Oh dis moi que c’est pareil
Que c’est pareil pour toi
J’ai le ventre qui fait mal
Et mon cœur qui flanche
Ca vrille dans ma tête
Quand ton corps se penche,
Tu pars en cavale
Tout contre mes hanches,
Allant à la quête
De nouvelles nuits blanches,
Je pars en cavale
Et j’agrippe tes manches,
Tenant les manettes
Nos désirs s’enclenchent
T’imagines même pas
Ce que ça me fait quand t’es là
T’imagines même pas
Ce que ça me fait quand t’es là
Oh dis moi oh dis moi
Oh dis moi oh dis moi
Oh dis moi oh dis moi
Oh dis moi oh dis moi
Oh dis moi oh dis moi
Oh dis moi que c’est pareil
Oh dis moi que c’est pareil
Que c’est pareil pour toi
Oh dis moi oh dis moi
Oh dis moi oh dis moi
Que c’est pareil
Oh dis moi que c’est pareil,
Que c’est pareil pour toi
Oh oh dis oh oh dis moi
Oh oh dis oh dis le moi
Non c’est pas banal
Ce qui se passe au fond de moi
J’ai même plus la dalle
Et je parle chinois
Je deviens bancale
Quand sur mes genoux
Tu glisses tes mains pales
Oh oui mais jusqu’où ?
Jusqu’ou irons nous ?
Jusqu’ou irons nous ?
Jusqu’où irons nous ?
Irons nous ?
T’imagines même pas
Ce que ça me fait quand t’es là
T’imagines même pas
Ce que ça me fait quand t’es là
Oh dis moi oh dis moi
Oh dis moi oh dis moi
Oh dis moi oh dis moi
Oh dis moi oh dis moi
Oh dis moi oh dis moi
Oh dis moi que c’est pareil
Oh dis moi que c’est pareil
Que c’est pareil pour toi
Oh dis moi oh dis moi
Oh dis moi oh dis moi
Que c’est pareil
Oh dis moi que c’est pareil,
Que c’est pareil pour toi
Oh oh dis oh oh dis moi
Oh oh dis oh dis le moi
|
||||
3. |
Dunkerque
03:53
|
|||
Si c'est dur de deviner ses courbes
C'est que ma mère est plate
Mais devant elle tu te courbes
Ma mère c'est une pirate
Regarde-moi cette déesse
Regarde la bien
Elle a des dunes pour fesses
Des coquillages entre ses seins
En son honneur on fait fleurir et je pèse mes mots
Des berguenards sur son empire
Des fleurs sur nos chapeaux
Elle a le teint blanc, la peau glacée
A un accent particulier
Elle pleure souvent oh toute l'année
Y a des torrents dans nos kways
Du sable jusqu'au fond de sa couette
Dans son jardin y a des mouettes
Slalomeuse de flaques d'eau
Elle plante des fleurs sur ses chapeaux
Ma mère à moi ma mère elle a
Ce je ne sais quoi que j'explique pas
Si elle a la gueule cassée
C'est qu'elle a fait la guerre
Et tu peux bien te moquer
Moi ma mère j'en suis fière
Quand je dis que c'est ma reum
On se fout un peu de moi
Parce que c'est pas un mythe
Que ma mère fume autant qu'elle boit
Du sable jusqu'au fond de sa couette
Dans son jardin y a des mouettes
Slalomeuse de flaques d'eau
Elle plante des fleurs sur ses chapeaux
Ma mère à moi ma mère elle a
Ce je ne sais quoi que j'explique pas
Si elle se peint la gueule en noir
C'est pas qu'elle est raciste
C'est pour montrer qu'on est frères et j'insiste
Déguise-toi avec elle tu reviendras sur tes discours
Quand elle fera de toi un parfait masquelour
Déguise-toi avec elle tu changeras de positions
Quand t'auras découvert ses traditions
Déguise-toi avec elle on parie que tu reviendras
Chaque année lui faire un zeutch à Mardi gras
Du sable jusqu'au fond de sa couette
Dans son jardin y a des mouettes
Slalomeuse de flaques d'eau
Elle plante des fleurs sur ses chapeaux
Ma mère à moi ma mère elle a
Ce je ne sais quoi que j'explique pas
Oh ma mère à moi tu l'oublies pas
Ma mère à moi tu l'oublies pas
Ma mère à moi tu l'oublies pas
Alors si je t'ai convaincu
Prépare-toi à te baigner sans ton slip au bain des givrés
Alors si je t'ai convaincu
Prépare-toi à tomber les soirs de rigodons les genoux à ses pieds
Alors si je t'ai convaincu t'étonne pas
Si on te retrouve avec une dunkerquoise la bague au doigt
|
||||
4. |
Rencontres
03:49
|
|||
Qu'on ait partagé une clope sur un trottoir
Ou plus jeune la même baignoire
Que ton prénom soit un mystère
Ou ait nourrit ma vie entière
Merci
Qu'on se soit aimé à devenir fous
Que tes traits deviennent déjà flous
Que tu m'attendes auprès des anges
Ou demain midi pour qu'on mange
Merci
Rencontres
Aujourd'hui je me rends compte
C'était pas le hasard
On se serait croisés tôt ou tard
Rencontres
Aujourd'hui je me rends compte
C'était pas le hasard
On se serait croisés tôt ou tard
Que tu m'aies craché ta haine ou fais la cour
Qu'on ait affronté la mort ou fait l'amour
Qu'on soit amis ou amants
Que tu parles hindi ou allemand
Que tes yeux hantent encore mes songes
Ou que j'ai déjà jeté l'éponge,
Merci
Qu'on soit passé à côté d'une histoire
Auquel je continue de croire,
Ou qu'on ait vraiment tiré un trait
Sur ces années pieds poings liés
Et qu'on se soit dit
Des choses qu'on regrette aujourd'hui
Ou qu'on ait jamais avoué
Ces mots qui auraient tout changer
Rencontres
Aujourd'hui je me rends compte
C'était pas le hasard
On se serait croisés tôt ou tard
Rencontres
Aujourd'hui je me rends compte
C'était pas le hasard
On se serait croisés tôt ou tard
J'ai appris de vos discours et de vos peines
Ils m'ont aidés sur mon parcours et sur scène
Et si certains m'ont fait trébucher
Je vous remercie sans arrières pensées
Grâce a vous je me relève plus vite
Je flaire les pièges et je les évite
Vous m'avez fait gagner du temps
Et faut dire je suis bien plus forte maintenant
Finalement je suis vous tous mélangés
Une pincée de vos défauts de vos qualités
Car chacun de vous a construit
Celle qui se tient devant vous aujourd'hui
Emplie de doutes couverte de faille
Elle accomplit pourtant un défi de taille
Etre fière de sa route et de ses faiblesses
Ouai vos rencontres sont mes richesses
Rencontres
Aujourd'hui je me rends compte
C'était pas le hasard
On se serait croisés tôt ou tard
Rencontres
Aujourd'hui je me rends compte
C'était pas le hasard
On se serait croisés tôt ou tard
|
Docile Marseille, France
Malicieuse, militante et sensuelle, Docile donne à écouter ces moments où le cœur s’emballe. Par ces chansons aux arrangements electro-pop, synth-wave ou chill-clubbing, cette artiste au nom provocateur délivre une Ode à la Femme, à la fois poétique et nuancée. Et d’un chuchotement ou au travers d’une déclaration enflammée, elle déploie son univers intime. Un projet délicatement indocile… ... more
Streaming and Download help
If you like Docile, you may also like:
Bandcamp Daily your guide to the world of Bandcamp